Faces aux mensonges de la gauche, 6 vérités

Face aux mensonges de de gauche dans notre département du Puy de Dôme, laissez moi vous dire quelques vérités:

Première vérité, l’Etat est le premier partenaire financier des collectivités locales. Chaque collectivité, de la plus petite commune aux intercommunalités, aux villes, aux départements et aux régions bénéficie de dotations garanties par l’Etat.

Il y en a marre du discours dépassé de la gauche sur le désengagement de l’Etat.

La réforme des collectivités, la suppression de la taxe professionnelle, la nouvelle répartition de la fiscalité qui en découle, le projet de loi de finances apportent aux collectivités locales les moyens de gérer, avec des budgets constants voire en légère progression.

La période 2011-2014 peut donc être abordée d’une part avec des moyens constants, et d’autre part avec un champ de compétences sans changement.

Seconde vérité, là où la gauche est majoritaire, les dépenses de fonctionnement dérapent toujours et, comme par hasard, la pression exercée sur le contribuable est plus forte que dans les collectivités gérées par la droite ou le centre.

Il est temps de maitriser les charges de fonctionnement.

Il est temps de dire stop aux augmentations des impôts locaux.

Ainsi, les augmentations successives des taux d’imposition du Conseil général, depuis 2004 année d’élection de Jean-Yves Gouttebel, ont ponctionné plus de 90 millions d’euros supplémentaires dans les poches des puydomois. C’est davantage que ce que réclame la gauche au gouvernement au titre des transferts soit disant non compensés

Troisième vérité, les difficultés financières des départements liées aux dépenses sociales viennent très majoritairement de la prise en charge de la dépendance, avec l’allocation personnalisée d’autonomie votée en 2001… sous le gouvernement JOSPIN, qui a simplement oublié de prévoir les recettes correspondantes. Les décentralisations opérées entre 2004 et 2008 ont quant a elles été compensées à l’euro près, telle que le prévoit la loi et tel que cela est inscrit dans la Constitution. Les commissions de contrôle souvent présidées par des élus de gauche n’ont pu que constater cet état de fait.

Quatrième vérité, une nouvelle solidarité est en marche, avec une nouvelle péréquation horizontale des collectivités les plus riches vers les collectivités les moins riches, et ce grâce au gouvernement de droite et à la majorité parlementaire. Ainsi, dès 2011, le département du Puy-de-Dôme bénéficiera de 4 millions d’euros supplémentaires au titre d’une nouvelle répartition de droits de mutation. Ne comptez pas sur la gauche pour l’annoncer avant les élections. Comme par hasard, le vote du budget départemental a été repoussé en avril !

Pour le bloc communal les perspectives sont également positives, avec notamment une forte revalorisation de la dotation de solidarité rurale ainsi que de la dotation de solidarité urbaine.

Cinquième vérité : le grand investissement du train à crémaillère(pour accéder au sommet du Puy-de-Dôme, coût : 80 Millions d’euros) se réalise, à un mauvais moment, suite à la crise, au détriment de l’investissement dans le reste du département, au détriment des investissements routiers, qui ont été divisés par 3, au détriment des aides aux communes qui ont été complexifiées et surtout plafonnées et abaissées ! SI a cet investissement vous ajoutez ceux réalisé pour : La Halle aux Blés (10md’€), le Centre Georges Couthon (6,7 md’€) vous comprendrez que ces choix d’investissements sont pas pertinents et vont augmenter de façon considérable nos impôts ! 

Sixième vérité, je partage les propositions de groupe d’opposition au Conseil Général « Union des Républicains » à savoir un programme raisonnable et ambitieux, équilibré, tourné vers une relance de l’économie, du tourisme, de l’agriculture, de l’artisanat, du développement local.

Un programme tourné aussi vers les nouveaux services, de la petite enfance au maintien des seniors à domicile, en passant par la proposition d’un plan départemental pour les services de santé. L’éducation, la jeunesse, la culture, l’humain au sens large sont au cœur

de notre programme. La gauche n’a pas le « monopole du cœur » comme ils se plaisent à nous le faire croire.